Nous présentons un protocole pour caractériser le sexe des cris de tête de bûcheron visuellement basé sur la coloration et le modèle de la sixième plume d’aile primaire.
Le criard est un petit oiseau passant sexuellement monomorphe utilisant des habitats de prairies à travers l’Amérique du Nord. D’après les données de l’Enquête sur les oiseaux nicheurs, l’espèce a connu un déclin drastique depuis le milieu des années 1960. La cause du déclin est inconnue, et des recherches sont en cours pour combler cette lacune en matière de connaissances. Ces efforts sont entravés par l’incapacité de sexertcés avec l’espèce en main, qui jusqu’à présent n’était possible qu’à l’aide de marqueurs moléculaires. Ici, nous présentons un protocole à la tête de bûcheron shrikes en analysant visuellement la coloration et le modèle dans la sixième plume primaire. L’application de la méthode facilitera notre capacité à identifier les menaces à une échelle plus fine que ce qui a été possible à ce jour et à répondre à diverses hypothèses écologiques et évolutives. La méthodologie est simple et les résultats fiables, nous encourageons l’inclusion de cette méthode de recherche des populations in situ et ex situ.
Le criard de bûcherons (Lanius ludovicianus) est un passant nord-américain avec une large gamme géographique englobant la majeure partie de l’Amérique du Nord et une variété d’habitats qui peuvent généralement être décrits comme des prairies1. C’est l’une des deux seules espèces de shrikes (Order Passeriformes) qui se produisent en Amérique du Nord. Shrikes sont surtout connus pour le projet de loi unique rapace-comme, qui leur permet de prendre des proies vertébrés, et leur comportement unique d’empaler les aliments sur des épines ou d’autres objets pointus. Le cri de bûcheron est la seule espèce de « véritable crique » (Family Laniidae) endémique sur le continent. Shrikes élevage au-dessus de 40 n sont généralement obliger les migrants1,2,3, avec des aires d’hivernage presque entièrement englobées dans celle des conspécifiques non migrateurs1,4.
Les données de l’Enquête sur les oiseaux nicheurs nord-américains5 pour les cris de bûcheron indiquent un déclin important de la population à l’échelle de l’échelle de l’aire de répartition (3,18 % d’an-1). Le cri d’affaires est l’un des 24 « oiseaux communs en déclin » de Partners in Flight, c’est-à-dire ceux qui ont perdu plus de 50 % de leur population au cours des 40 dernières années, mais qui n’ont pas d’autres facteurs de vulnérabilité élevés qui justifieraient un statut plus élevé de « Liste de surveillance »6. La perte d’habitat due à la succession et au développement humain ont probablement contribué aux déclins initiaux4,7,mais le déclin continu de la population dépasse la perte d’habitat pendant la saison de reproduction, ce qui suggère d’autres facteurs limitants, en particulier dans les zones où l’espèce est un migrant obligatoire4,8. Les résultats d’une analyse de la viabilité de la population effectuée pour la population en danger critique d’extinction des cris de bûcherons en Ontario suggèrent que le succès hivernal des oiseaux au cours de leur première année de vie est un moteur des tendances démographiques9,10. Les résultats indiquent en outre que l’effort de reproduction de la conservation, qui augmente la population sauvage, a empêché l’espèce d’extirper dans cette zone9,10.
Comprendre les différences entre les sexes est un élément important des hypothèses écologiques et évolutives. Le plumage des shrikes en bûcheron (Laniusludovicianus) est sexuellement monochrome et donc les individus ne peuvent pas être sexués de façon fiable dans la main. Cependant, sur la base d’une méthode applicable à la grincheuse du Nord (Excubitor Lanius)11,12, il a été montré pour être possible de sexe au moins certaines populations de shrikes en bûcheron adulte en utilisant le modèle de coloration dans la sixième plume de l’aile primaire13. Nous avons révisé cette méthodologie13 pour inclure l’examen d’une deuxième variable, en particulier l’étendue de la pigmentation dans le rachis du sixième primaire, qui permet une identification fiable du sexe dans la majorité des individus dans les populations orientales, et testé son application (auparavant seulement appliquée aux oiseaux adultes) pour les jeunes à part entière de l’année. La méthode ne nécessite pas d’équipement spécialisé ou d’essais coûteux en laboratoire, et aucune mesure n’est requise qui serait sujette à un biais d’observateur. Sur la base de nos résultats, la méthode est facilement apprise et, une fois maîtrisée, très précise. Ici, nous présentons des instructions détaillées sur la façon de sex shrike dans la main en utilisant notre méthode et discuter des implications plus larges de l’inclusion de l’évaluation du sexe dans la recherche future et les efforts de conservation pour cette espèce unique et énigmatique de préoccupation de conservation.
Ici, nous décrivons une méthode simple et efficace par laquelle le criard de bûcheron peut être sexté basé uniquement sur des indices visuels, et fournir une évaluation de l’exactitude de la méthode. Notre méthode simple est facilement et rapidement entreprise, avec des résultats indiquant un taux de précision élevé qui augmente avec une petite quantité de formation. Nos résultats appuient ceux des travaux précédents13 qui ont indiqué la méthode développée à l’origine pou…
The authors have nothing to disclose.
Le financement du travail sur le terrain au cours duquel nos méthodologies ont été élaborées a été fourni par le Service canadien de la faune d’Environnement Canada, l’application des technologies stratégiques de la génomique dans le Fonds de recherche sur l’environnement d’Environnement, les espèces en voie de disparition. Fonds de rétablissement, le Fonds de rétablissement interministérable, le Conseil de recherches en sciences naturelles et en génie et le ministère de la Formation, des Collèges et universités de l’Ontario (bourses d’études à l’AAC), l’Université Queen’s (Bourse Duncan et Urlla Carmichael A.A.C.) et Conservation de la faune Canada. Nous tenons à remercier l’éditeur et quatre commentateurs anonymes pour leurs commentaires, qui ont grandement amélioré ce manuscrit. Merci au personnel de Conservation de la faune Canada et aux membres du Groupe de travail nord-américain Loggerhead Shrike pour des discussions qui ont aidé à l’élaboration de cette méthodologie. Nous remercions tous les scientifiques et le personnel des citoyens d’African Lion Safari, à Cambridge, en Ontario, pour leur aide pour l’achèvement du sondage. Nous remercions tout particulièrement Erin Sills, coordonnatrice du marketing et des relations publiques, African Lion Safari, pour son aide dans la production de l’enquête en ligne et la résumation des résultats.